Retour de lectures, stages et conférences concerts
Croire encore en l’amour et la paix sur ce sol
Vouloir juste goûter au plaisir d’être en vie, d’être la
Combien de jours, combien de nuits, et même si
On devait encore te tourner le dos
Avec un sourire amoureux tu accueillerais
Tes juges et tes ennemis tels tes meilleurs amis
Tu me diras, je sais, que ce n’est pas toujours si fa
Cile et que, funambule sur un fil, tu risquerais
De te retrouver à nouveau au sol
Comment alors reprendre ton envol?
Vers le soleil et le ciel azuré
Continuer à écrire la partition sur ton clavier
Pratiquer l’art de la fugue, échappatoire vibratoire
Sur ton piano faire danser les blanches et les noires
Par la magie de nouvelles mélodies
Réenchanter ton chemin de vie
Riche de tes seules notes, de tes accords, de tes sons
De toutes tes belles dissonances
Qui en toi si fort résonneront
Comme les pulsations de ton cœur
Dans ta cathédrale intérieure
Baignée de lumière, d’harmonie et de silence
Cette variation sur un octave
Accepte là comme un hommage
D’un inconnu à ce pianiste nomade
Qui l’a tant touché et inspiré
Merci à toi Marc Vella
D’être simplement ce que tu es.
Le 22/10/2018
il est tard chez moi, mais avant d'aller me coucher je voulais te partager quelque chose d'extraordinaire qui s'est produit aujourd'hui... et ton livre était impliqué !
Aujourd'hui, j'étais proche d'Ottawa pour aller voir 2 amis chers à mon coeur dont Lydie, une jeune Rwandaise de 34 ans.
Quand Lydie m'a parlé de la quête personnelle qu'elle avait à propos du conflit rwandais il y a quelques mois, et ce qu'elle cherchait à faire, j'ai eu la certitude intérieure de voir en face de moi une des personnes qui possédait en elle une des clés de la résolution de ce conflit.
A ce moment-là, par ma manière de voir les choses, je lui ai apporté des réponses à ses questions et je lui ai dit que ce serait un honneur pour moi de l'accompagner sur son chemin, quel que soit le temps que ça prendrait.
Depuis, je l'accompagne sur le chemin de sa quête et nous nous rencontrons à intervalles irréguliers (quand cela nous semble nécessaire) pour non seulement tisser une amitié, mais aussi faire le point sur là où elle en est rendue.
Et à chaque fois il se passe quelque chose d'extraordinaire. Ce que je lis, ou bien là où j'en suis rendue dans mes propres prises de conscience semble toujours coïncider avec les réponses qui lui manquent à ce moment-là...
Aujourd'hui, j'avais emmené ton livre dans le café où on discutait. Je voulais lui parler de ce que j'y lisais... mais je ne savais pas exactement ce qui m'avait amené à l'amener physiquement au lieu d'en parler simplement.
Et vers la fin de notre discussion, dans une phrase qu'elle dit j'ai soudain eu le "Eurêka !". C'est là que j'ai su pourquoi j'avais amené ton livre ! C'est parce qu'il fallait que je lui lise le début du chapitre "Celui "qui sait", celui "qui ne sait pas" ".
Je lui lis. Elle a les larmes aux yeux...
Après un moment de silence, elle me dit :
"Merci. ça me permet de me recentrer. ça me permet de revenir au départ de ma quête il y a un an, où j'étais celle qui ne sait pas."
Elle me disait que ça lui permettait de revenir à plus d'humilité, et qu'elle voyait que quelque part elle avait fini par se différencier des autres gens en se disant que elle, elle avait compris. Qu'elle savait. Mais que ton texte lui permettait de revenir à la bonne place : celle du coeur, de celle qui écoute et ne sait pas. Ou ne sait pas tout.
Alors voilà Marc, tu pourras te dire que quelque part ton livre aura contribué d'une manière ou d'une autre à l'apaisement chez une Rwandaise, et peut-être qui sait, dans quelques années, du conflit rwandais quand son travail sortira.
Je t'embrasse
Que dire de ce chapitre 6 "Ecoute, méditation et prière"... je l'ai relu au moins 3 fois... les mots me manquent... alors je vais me concentrer sur mon ressenti pour vous traduire son impact chez moi.
J'ai eu les larmes aux yeux dès que vous avez parlé de cet être qui se redresse et prend sa place dès lors qu'il est écouté. Une sensation d'expansion dans mon corps, un impérieux besoin de me redresser, de me déployer... Je laisse la vague d'émotions passer...
Puis dans votre description du début de séminaire le dimanche soir, je retiens mon souffle comme ceux qui retiennent leur voix parce qu'ils se demandent ce qu'ils font là, se sentant miniaturisés par l'écrasante aura d'excellence dont ils nimbent les musiciens confirmés.
Je tremble avec celui qui "se sacrifie"... et je fonds en larmes quand vous écrivez "Ecoute ce qui se passe. Qu'est-ce que cela ouvre en toi, qu'est-ce que cela ferme..." Mon coeur est bouleversé parce que vous venez de mettre les mots exacts sur ce que je commençais à faire depuis un certain temps, sans être capable d'y mettre des mots dessus ni vraiment bien le comprendre. Ces mots sonnent en moi comme une évidence, d'une simplicité féérique. Je laisse la vague d'émotions passer à nouveau...
Puis je vois dans ma tête cette transfiguration du visage dont vous parlez, parce que je l'ai vu une fois chez une personne et ça m'avait profondément émue. Cette émotion me revient en lisant vos lignes... et une gigantesque vague d'amour me submerge quand vous écrivez que ces gens arrivent alors à accepter leurs paradoxes dans la joie au lieu de la culpabilité. Enfin ! Enfin c'est possible et je ne suis pas la seule à avoir trouvé ce chemin ! Et vous en plus vous le partagez dans des ateliers, vous le faites ressentir à tellement de monde. Merci.
Ensuite, je suis capable de me mettre à la place de cette interprète de Liszt qui se met devant le clavier, parce qu'auparavant j'étais moi aussi dans la performance et la course à la reconnaissance. Je suis capable de ressentir son stress, son besoin de dominer et de s'enfermer dans ses certitudes pour se sentir en sécurité et ne pas perdre la valeur qu'elle se donne par rapport à la maîtrise qu'elle a acquise... sans cela qui est-elle ?
La conscience était juste 30 cm trop haut et rien n'a vibré car elle était un bel instrument, certes, mais sans âme...
En lisant la dernière partie du chapitre, j'ai les larmes qui montent aux yeux à nouveau lorsque vous parlez d'écoute pleine d'humilité qui rejoint un état méditatif lorsque l'on joue... lorsque l'on prie en jouant. Cet abandon entre les bras de l'Univers où tout nous arrive, où nous sommes comblés au-delà de tout ce que nous pouvons imaginer sans même avoir à formuler une parole, un souhait...
En lisant vos mots je sens mon corps qui se désintègre en minuscules particules qui fusionnent avec ce qui m'entoure. Ma conscience s'élargit, dépasse les murs de chez moi et bien au-delà... Je me retrouve dans le même état que lorsque je suis submergée par la beauté d'un paysage ou que je me laisse traverser par la beauté d'un tout petit détail de la nature autour de moi. Je SUIS le tout, vibrant... Je respire plusieurs minutes dans cet état...
Je ressors de cette lecture un peu étourdie, le coeur ouvert au maximum et complètement bouleversée...
Je dois juste vous faire un aveu : avant de vous écrire le premier mail, j'avais lu les 2 premières pages de ce chapitre en plus des 20 que je citais. J'étais tombée sur la page juste avant en transmettant mon énergie au livre et en l'ouvrant ensuite "au hasard". Cela m'avait tellement ému que ça m'avait poussé à emprunter le livre chez l'ami chez qui j'étais.
Je ne sais comment terminer ce mail... c'est compliqué de revenir les pieds sur terre ;) et je crois que j'ai envie de flotter encore un petit peu...
Alors je vous envoie un immense merci et je vous serre à la fois fort et en même temps très délicatement contre mon coeur.
Bonjour,
j’ai rencontré le Télésommet seulement le 8ème jour... Merci pour votre travail et pour aider chacun à s’auto-éduquer et à s’auto-responsabiliser, à devenir des adultes “exemples” pas parfaits mais responsables pour accompagner nos enfants afin de leur donner envie de devenir des adultes... des adultes plus responsables, conscients et confiants en eux-mêmes... heureux de partager avec les autres et grandir ensemble en s’entraidant et en se respectant.
Merci de m’avoir permise de faire encore un bout de chemin par vos choix judicieux d’intervenants et de sujets. J’ai malheureusement pas eu de chances car j’ai chaque fois été interrompue dans les films que j’ai pu regarder mais l’atelier de Marc Vella, j’ai eu la chance de l’entendre complet et rien qu’avec ses mots, j’ai grandi intérieurement, merci à Marc Vella pour cette justesse, cette puissance des mots qui résonnent encore en moi, cela m’a beaucoup touchée.
Belle continuation et beaucoup de succès pour vos projets,
Belle journée.
Dina
Tellement d'Amour dans ces images... Marc, tu laisses tellement l'Amour te traverser qu'il se répand intensément, immensément... Quel cadeau !
Tu t'abandonnes à cette Vie qui te traverse, avec Grâce et simplicité. C'est beau à VOIR, c'est nourrissant, inspirant.
Merci. Merci...
Comme toi, je ne vois pas de fausses notes. Il y a des notes. La Vie qui se joue dans une infinité de notes et Cela ne peut qu'Etre. Ni faux, ni juste.
Etre ne se pèse pas. Etre ne se colore pas. Etre n'est ni vrai ni faux. Etre est.
La Vie ne se juge pas elle-même.
Pour qui nous prenons-nous quand nous le faisons ? Ce ne peut être que l'oubli qui juge.
Si nous restons là, dans le courant de la Vie qui se donne à elle-même, que peut-il exister d'autre que la Vie qui Est ?
Hier, comme une évidence qui m'a traversée... Tout est Un et c'est la Vie qui se vit à travers moi, la Source qui a eu envie de s'expérimenter en faisant plein de dettes, en ressentant la culpabilité, la tristesse, la solitude etc... Et, subitement, j'ai ressenti quelque chose de doux et fulgurant... Ce n'est pas moi qui fait... Mais oui ! Et je me me suis sentie Ok avec ça. Tu veux ressentir tout ça à travers moi ? Ok. Fais-le donc... Ce n'est pas moi qui fait... Et quelque chose s'est relâché doucement..
Je regarde souvent les arbres, l'herbe, les fleurs, les animaux... Se demandent-ils s'ils poussent bien ou pas ? S'ils poussent au bon endroit ? S'ils ont assez d'eau etc ? Ils poussent. Ou pas.
J'entends souvent des gens me dire : "J'ai fait pousser des tomates"... Ah oui ? Vraiment ? Mais "Comment as-tu fait ?" ai-je envie de demander. Il me semble que tu as planté des graines, arroser, pris soin, eu l'intention de voir pousser des tomates. Mais les as-tu faites pousser ? Si oui, comment ?
Merci Marc pour tout ce que tu fais émerger. Merci de laisser l'Amour nourrir l'Amour nourrir l'Amour nourrir l'Amour... A l'infini...
LOVE U-US-ALL
Je résonne encore à l'histoire de cette femme qui a commencé par frapper les touches du piano comme les mots des autres la frappaient, avant de s'abandonner à jouer au point de se transformer physiquement...
J'ai éclaté en sanglots hier en la lisant, parce que je ressentais cette libération.
Quand le pianiste nomade devient le diapason qui permet à l'autre de s'accorder aux infinis possibles de son Soi...
Merci d'exister et de (me) transmettre cette vibration par vos mots
Monsieur Vella,
Je viens de terminer la lecture de votre livre " Le pianiste nomade". Je voulais vous remercier pour ce beau témoignage. Le bonheur se raconte mal paraît-il, je l'ai toujours pensé, plus encline que je suis à écrire des tragédies, mais je sais à présent que c'est faux ! Je suis sensible à ce que les mots ont à dire, les votres, chargés d'optimisme, ont trouvé une juste résonance dans mon esprit.
J'ai failli suivre la caravane amoureuse il y a quelques années cela n'a pas pu se faire finalement, mais je fais désormais partie de l'expédition T2A, tour des 2 Amériques solidaire en voilier, peut être aurais-je le plaisir d'entendre votre musique quelque part autour du globe. Les voyages sont comme les mots, ils ne nous appartiennent pas, ce sont eux qui nous tiennent, ce que nous savons, ils nous l'apprennent, et nous les connaissons si peu.
Belle continuation à vous,
Amicalement,
Sara
Bonsoir,
Tout va bien j’ai pu écouter Jean-Phillipe Brebion - un pur bonheur de pouvoir à travers votre générosité écouter des conférences d’une telle teneur - ce sont 10 jours merveilleux pour l’enrichissement, l’émotion que procurent certains intervenants.
Je pense notamment à Marc Vella ; j’ai visionné trois fois de suite le film de Jean-Yves Bilien sur la caravane amoureuse “l’éloge de la fausse note » - chaque fois j’ai pleuré tant les mots de Marc sont entrés en résonance avec tout ce que je suis - je ferai l’acquisition de ce film et d’autres quand ce sera possible - ce sont autant de trésors que je partagerai - une telle richesse du cœur dans ces films ne peuvent rester connus d’un petit nombre.
Je vous suis profondément reconnaissante de ce beau cadeau
Merci , je vous embrasse toutes et tous pour ce projet magnifique que j’ai reçois jour après jour avec JOIE
J’espère pouvoir entrer en contact par mail ou blog avec Jean-Yves Bilien pour lui dire comme je suis admirative de son travail et le belle ouverture sur la vie ....
tout comme avec d’autres intervenants pour qu’ils sachent aussi combien la valeur de leur don a été apprécié.
Journée magique de stage avec Marc Vella...
Oser s'approcher du clavier, apprivoiser le son, le silence, vibrer..
Et s'endormir en écoutant du piano... Se dire que demain est le deuxième jour du stage, un nouveau rendez vous avec l'instrument.. Et avec soi...
Être dans la gratitude...
Toutes mes félicitations c'est du très beau travail !
J’aime ton ouverture avec le tableau de Nicolas Roerich, j’adore ce peintre. Ce film présente une belle alternance entre photos et films. Il donne le rythme de ce pèlerinage unique et inédit du XXIème siècle. Ce film exhale tendresse et amour à travers les rencontres sur les routes et carrefours de l’Himalaya. Certains des lieux d’éducation, dans lesquels le Club Tibet s’investit depuis près de 30 ans, garderont un souvenir ému du passage de Cathy et Marc, ainsi que des caravaniers. J’en reçois régulièrement des retours. Ces témoignages sont gravés dans les cœurs. Le film évoque les multiples étapes de cette caravane amoureuse dans les Himalaya. Le ballet et la grâce des fenwicks et porte-palettes est génial, du grand art au cœur de l’entreprise Manitou.
La caravane a traversé l’Himalaya, elle continuera à arpenter les divers pays de notre planète. Le Club Tibet poursuivra ses engagements en faveur des enfants des Himalaya. Nous retournerons dans ces lieux, dans des nouveaux espaces de vie découverts à cette occasion.
Merci à toi Marc, merci à Cathy, Monique et à toute votre équipe du Petit Chemin.
Je vous embrasse
Amitiés
Michel
Lorsque j’ouvre un livre de Marc Vella, j’y trouve de la beauté, de l’espoir en l’humanité, des messages plein de délicatesse et d’encouragement, mais surtout beaucoup, beaucoup d’Amour.
« La seule voie qui vaille la peine d’être suivie est celle que notre cœur nous indique (…) il y a ceux qui ont entendu autre chose et ont compris que le seul maître à suivre et écouter, c’est leur maître intérieur. Ils ont intégré que le seul sommet à atteindre se trouve dans la profondeur de leur cœur ».
Pour découvrir qui se cache derrière le nom de l’auteur, il vous est possible de vous référer à la présentation sur son livre La Clé d’Être en cliquant sur ce lien.
Dans Eloge de la fausse note, Marc Vella souhaite que chacun trouve la grâce en lui, en assimilant le fait que celle-ci n’est pas réservée à un groupe d’élus. Comme il l’exprime si bien « Le génie de chacun ne peut se révéler que si l’on est convaincu de cela. Si l’on pense qu’il y a les génies et les autres, s’impose l’idée qu’il y a des gens meilleurs que d’autres. Il n’y a qu’un pas pour considérer que certains peuples sont au dessus des autres ».
Tous échecs, toutes frustration ou tout comportement négatif et autodestructeur envers nous-même ou les autres font partie de ce que Marc Vella appelle des fausses notes qui nous permettent de grandir. Selon lui « Grandir, c’est ne plus être manipulé par son mental et ne plus entraîner les autres dans ses propres marasmes. Lorsque notre mental nourrit et émet des pensées négatives, il est certain que l’on se ferme à la joie et à la grâce, on ne peut être que dans le manque. La fausse note est là, dans cette attitude, mais en même temps c’est elle qui nous titille jusqu’à nous faire croire que le bonheur est ailleurs. Sans aucun doute, la fausse note nous fait bouger (…) les fausses notes font partie de notre existence, plus encore, elles la justifient. Pour l’homme, cette réalité n’est pas toujours recevable. Son mental aimerait bien contrôler tout ça, mais cela lui est impossible. Voilà pourquoi la musique de la vie lui demeure le plus souvent incohérente, injuste, parfois même cruelle ».
Marc Vella est auteur, musicien, mais également fin philosophe « Seule une perception totale du mystère du chant de l’amour peut générer une telle joie explosive. Dans le silence de l’avant genèse, cela fait un peu fausse note, toute cette bruyante exubérance. Mais comment ne pas être en joie lorsque j’ois la musique de l’amour ? Quand j’oie la musique de l’amour, cela me met en joie et parce que je suis en joie, j’oie ce présent qui me rend présent au présent. J’ois et joie ne peuvent être l’un sans l’autre. L’un est question, l’autre est réponse. L’un raisonne, l’autre résonne. Lorsque j’ois la musique de l’amour, tout s’unit jusqu’à brûler dans un feu qui n’est que pure passion. J’ois et joie sont le catalyseur de toute naissance, que ce soit celle d’une graine, d’un embryon humain, d’une étoile… Par la loi des résonnances, j’ois et joie sont un, père-mère de toute lumière… J’ois et joie est Son nom… ».
Un dernier conseil de sa part « Que cela ne nous atteigne pas, osons les fausses notes, gaillardement, joyeusement. La fausse note jouée ainsi, avec de la joie, à la fois la sienne et celle des autres qui rient des risques que l’on prend, de nos libertés, répare tout, guérit l’âme, le cœur et le corps (…) accueillir ce qui est et ce qui vient est la seule attitude qui puisse nous aider à avancer dans la vie en toutes circonstances, quelles que soient les fausses notes que nous pouvons faire et subir. Quoi qu’il arrive, tout est juste… Quoi qu’il arrive, gratitude ».
Tout cela me donne envie de faire des fausses notes, pas vous ?
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Un jour, je me suis inscrite à un stage de piano avec Marc Vella intitulé « Vivre en joie la musique de la vie ». Je pensais que pendant deux jours j’allais apprendre à lire une partition, mémoriser les accords et répéter des exercices afin d’en exécuter parfaitement la mélodie. J’étais loin d’imaginer ce qui m’attendait réellement.
Durant ce stage, j’ai découvert qu’il était possible, sans chercher la note juste mais simplement en laissant aller mes mains sur le clavier – soit en improvisant – d’être en lien avec le piano et de jouer ma propre musique intérieure. Offrir cette mélodie personnelle à moi-même d’abord et aux autres ensuite, ainsi qu’écouter celle de chacun des participants était un cadeau précieux. Pour ces moments de pure authenticité, je profite de cet article pour remercier Marc Vella de tout mon cœur.
Marc Vella se décrit comme un compositeur, pianiste nomade et concepteur de la Caravane amoureuse. Il est également conférencier et auteur de plusieurs ouvrages, dont la Clé d’Être. Depuis 25 ans, il parcourt le monde avec son piano à queue afin de faire résonner la musique de la vie dans les paysages les plus improbables comme la brousse malgache, les villages africains ou encore le Sahara, les bidonvilles de l’Inde et les montagnes du Pakistan.
Dans La Clé d’Être, parmi les (nombreux !) passages qui m’ont inspirée, je vous présente ceux-ci :
« J’ai la prétention de croire que les réponses que j’apporte dans ces pages peuvent être des outils précieux pour bâtir la joie (…) Pour quelles raisons ne t’accordes-tu pas plus souvent la joie d’être et de vivre ? Je ne te parle pas de la joie que tu trouves dans les fêtes, à l’alcool parfois bien trop généreux, te menant trop souvent à l’exubérance, mais de celle qui t’invite au silence. Une joie simple, tranquille, révélant ainsi toute ta profondeur. Pourquoi n’écoutes-tu pas vraiment ton cœur pour vivre toute la vérité de ton âme ? De quoi as-tu peur, de toi, des autres, des deux à la fois ? Ne sais-tu donc pas que la seule vraie aventure est de te vivre pleinement ? (…) ».
Si après ces quelques passages je ne vous donne pas l’envie de vous plonger dans la lecture de ce bouquin…
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Bonjour Marc,
Nous nous sommes croisés mardi dernier lors du séminaire de Fabentech organisé par Nadia.
Je ne pouvais pas rester jusqu'à la fin et je voulais donc t'envoyer un message pour te remercier de ta venue.
Effectivement, je viens du parcours classique conservatoire (j'ai arrêté le conservatoire à 18 ans en préparation de médaille) et je trouvais vraiment intéressant ton approche de la musique.
J'espère que tes préparatifs pour ton voyage au Népal et au Tibet se passe bien.
Amicalement,
Nicolas
Juste un petit mot pour vous raconter ma Grande :) aventure d'hier soir après le stage :
Après que Christophe et Sabine m'aient déposé à la gare hier, j'avais un peu de temps, alors devinez ce que j'ai fait ? Je me suis rendue au piano de la gare bien sûr !
Parmi le brouhaha, j'ai improvisé, j'étais bien. Puis un homme est venu écouter et est reparti. Puis un enfant d'environ 10 ans est arrivé et je lui ai proposé de jouer à 4 mains ! Il a accepté ma proposition tout content. Il n'avait jamais joué et c'était chouette. Il me regardait souvent pour avoir mon avis et moi je le rassurais par des "super", "ouais"... Après il m'a demandé de jouer seul au piano. Il a un peu joué, osé et je lui ai montré le rapport de quinte... ça fera peut-être son chemin... ou pas !
Ensuite, j'ai fait la connaissance d'"Oxygène", un homme à la rue et sans toutes ses dents, qu'on appelle ainsi car il donne de l'air aux gens ! Il m'a demandé si je souhaitais entendre un poème qu'il avait écrit, destiné à La femme qu'il attendait. C'était plutôt pas mal et il a ensuite jouer la Lettre à Elise, à sa façon ! Quel bonheur de le voir si heureux.
Ensuite je suis partie prendre mon bus pour Bordeaux et la chauffeuse était tellement gentille et prévenante que c'en était étonnant ! Je l'ai d’ailleurs remerciée à la fin du voyage. Synchronicité ?!
Comme j'ai pris des notes pendant le stage, je vous met ci-dessous quelques suggestions de lecture évoquées ce wk :
Gitta Mallasz, Dialogues avec l'ange
Marianne Williamson, Un retour à l'amour
Dr Danièle Flaumenbaum, Femme désirée, femme désirante
Bruce H.Lipton, Biologie des croyances
Les 5 regrets des personnes en fin de vie, de Bronnie Ware
Une Passion. Entre ciel et chair de Christiane Singer
Pour finir, je vous fais partager le merveilleux texte de Marianne Williamson (cité par Marc) : 'Notre peur la plus profonde' prononcé par Nelson Mandela.
bises,
Linda
nb 1 : si quelqu'un a le mail de Gabrielle, faites lui suivre ce mail SVP
nb 2 : Marc, tu peux citer ma belle aventure avec plaisir sur ton site pour faire la promo de ton stage :)
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"Notre peur la plus profonde
n'est pas que nous ne soyons pas à la hauteur,Notre peur la plus profonde est que nous sommes puissants au-delà de toutes limites.
C'est notre propre lumière et non notre obscurité qui nous effraie le plus.
Nous nous posons la question...
Qui suis-je, moi, pour être brillant,
radieux, talentueux et merveilleux ?
En fait, qui êtes-vous pour ne pas l'être ?
Vous êtes un enfant de Dieu.
Vous restreindre, vivre petit,
ne rend pas service au monde.
L'illumination n'est pas de vous rétrécir
pour éviter d'insécuriser les autres.
Nous sommes tous appelés à briller, comme les enfants le font.
Nous sommes nés pour rendre manifeste
la gloire de Dieu qui est en nous.
Elle ne se trouve pas seulement chez quelques élus,
elle est en chacun de nous,
Et, au fur et à mesure que nous laissons briller notre propre lumière,
nous donnons inconsciemment aux autres
la permission de faire de même.
En nous libérant de notre propre peur,
notre puissance libère automatiquement les autres."
Ces quinze derniers jours ont été un réel écho à mon passé, à mes racines, à ce que je suis et d’où je viens. Un nettoyage à la source pour aller de l’avant. Feedback…
A mes 18 ans, lorsque je pars de Belfort où j’ai grandi, je n’avais qu’une envie : voyager pour comprendre le monde. J’ai alors suivi un parcours d’études à Lyon en Ecole de Commerce et Développement afin de me spécialiser en gestion de projets en développement durable. J’y ai appris l’Histoire du monde, de sa géopolitique, de son économie, et tant d’autres, et surtout, que contrairement à ce que je pouvais penser, qu’il ne tournait pas rond. Je n’ai pas trouvé dans le développement durable les réponses que je cherchais pour soigner à mon échelle cette planète blessée par l’égocentrisme de l’Humanité. Je me suis donc tournée vers son maillon manquant : l’art et la culture. Mais là encore, je me suis retrouvée confrontée aux mêmes paradoxes, à ce même sentiment d’imperfections aux outils mis en place par l’Homme pour trouver des alternatives au chao planétaire engendré par cette même activité humaine.
Lors de mon séjour au Mexique pendant près d’un an en 2012 nous avons eu le projet avec des amis de créer un lieu de fête, interculturel, dans lequel la joie serait le maître mot.
Nos chemins entre le Mexique, la France et l’Australie se sont progressivement éloignés, mais l’idée m’est restée et a commencé à m’imprégner.
En débutant l’élaboration théorique de ce projet en 2014 lors de ma dernière année d’études, j’ai fait la rencontre d’une femme extraordinaire qui possédait un lieu tout autant fantastique sur Lyon pour lequel j’ai eu la chance de travailler en tant que programmatrice. Cet endroit qui s’appelait l’Antre Autre, et qui a aujourd’hui malheureusement fermé ses portes, était un café culturel de tous les possibles reliés autours d’une seule variable : l’Amour.
J’avais alors en ma possession la clé manquante à toutes mes réflexions…
La Vie continua, j’ai terminé mes études, et laissé de côté l’envie de monter un endroit similaire. Je suis partie deux ans durant travailler dans les prisons de l’Oise en Picardie en tant que coordinatrice d’activités socioculturelles. Je faisais le lien entre près d’une quarantaine de partenaires culturels et artistiques extérieurs et le monde ultra sécurisé qu’est le milieu carcéral. J’ai apporté avec passion de la liberté dans un des endroits les plus fermés qu’il soit, jouant avec son cadre impénétrable et conciliant les relations humaines les plus divergentes.
Cette expérience fut sans doutes les prémices de ma prise de conscience sur l’importance du partage, de la création, du contact humain, de la bienveillance, pour tous, qui que nous soyons, pour apprendre à s’aimer et à aimer en retour. Et j’ai réalisé à quel point j’avais moi-même besoin de création et de m’aimer moi-même avant d’aimer les autres.
Je décide alors de quitter mon poste et de retrouver un travail alimentaire sur Lyon qui me laisserait le temps de me consacrer à la découverte de qui je suis. C’est à ce moment-là, en cet été 2016, que j’ouvre « Le Pianiste Nomade » de Marc Vella. Ma maman me l’avait offert une dizaine d’années auparavant, alors que j’étais une adolescente sauvage et insaisissable. Il avait depuis voyagé d’étagères en étagères, de déménagements en déménagements, sans que j’y prête plus d’attention.
Je me reconnais aussitôt dans ces pages, dans ce récit de vie, ces valeurs et la manière de voir le monde de ce pianiste qui a fait le tour du monde avec son piano, pour apporter paix et amour entre les cultures, allant à la rencontre de l’essence même de ce qu’est l’Humanité. Je lui écris aussitôt. Avant de commencer mes études, vers l’âge de 17 ans, j’avais décidé d’arrêter le piano et la musique en plein milieu de l’année où j’allais être diplômée en formation musicale, après 10 ans d’apprentissage. Mais cet instrument faisant tout de même parti de moi j’avais réinvesti quelques mois auparavant dans un piano. J’avais l’idée en tête d’apprendre à improviser, et avoir accès à des cours inculqués par une personne possédant une telle philosophie de vie m’est apparu comme étant une évidence.
C’est donc en janvier 2017, à la veille de ma prise de poste à temps partiel dans un magasin d’alimentation biologique et après un séjour de quelques mois dans un autre milieu fermé que sont les maisons de retraite, que je participe à un stage de deux jours avec Marc Vella intitulé « Vivre en joie la musique de la Vie ». Un stage de développement personnel sur l’improvisation, dans la musique comme dans la Vie, sur l’acceptation des fausses notes, le lâcher prise en délicatesse, le rapport à soi et aux autres, l’action et l’envol. Je m’étais toujours sentie incapable d’improviser sur un piano. Mais pendant ces deux jours, dans cet havre de paix et d’apaisement, dans cette bulle de douceur humaine, je ressens le déclic. Je m’écroule en larmes après ma première improvisation. Je suis bouleversée par la beauté de la vibration du son, par cet état de communion méditatif avec chaque note jouée, par la redécouverte de ma propre capacité à créer quelque chose de beau, en toute simplicité. Je retrouve mon innocence enjouée d’enfant, dans la joie du cœur et de l’imagination. Je me souviens alors d’une promesse que je m’étais faite, du haut de mes 10 ans, alors que je possédais une imagination débordante pour concevoir des histoires et observer la réalité différemment : « Je veux devenir adulte mais jamais je ne perdrai mon imagination, jamais je ne m’arrêterai de créer et de rêver ».
Les premiers mois qui suivirent cette réconciliation avec mes plus intimes profondeurs et ce moi artiste furent atrocement difficiles. J’ai pris soudainement conscience de l’environnement de violence dans lequel j’étais emprise, et les six mois dont j’eus besoin pour m’en défaire ont constitué un parcours d’une agressivité énergivore et asphyxiante. Je vis à quel point je m’étais laissée de côté depuis des années, que je m’étais perdue, que je m’étais abimée, et que je me connaissais si peu. En parallèle, les belles rencontres se poursuivant, j’ai débuté un travail généalogique afin de mieux savoir d’où je viens et de connaître les raisons de mon cheminement qui fut parfois très douloureux et pesant. Fille d’immigrés italiens, je ne me suis jamais réellement intéressée à mes racines, ni même à l’Histoire de mes parents, trop occupée à vouloir m’enfuir pour créer ma propre réalité. J’ai alors débuté à parler et à poser des questions pour comprendre mes choix de vie, tout comme j’avais voulu comprendre le monde à 18 ans. C’est alors que commença une phase de libération et d’alignement total. Les pratiques du théâtre, de la danse, de la musique, de la peinture, et j’en passe, sont entrés progressivement dans mon quotidien. Toutes ces activités que j’organisais pour les autres, je me les suis offertes. J’ai de nouveau 10 ans, avec le même entrain et la même imagination, la même curiosité et attention.
Puis janvier 2018 arrive, et après une dernière période de doutes et de montagnes russes émotionnelles, je décide de faire un pas de plus. De reprendre l’idée du projet qui ne m’a jamais quitté et de lui donner un nom, Cosa Vostra et la Mafia del Sol, et de débuter son élaboration non pas en France, mais en Italie, à l’origine.
Et je me retrouve ici, le 6 mai 2018 à Genac, vers Angoulême, au domaine de Marc Vella pour préparer avec une quarantaine de personnes plus extraordinaires les unes que les autres, une Caravane Amoureuse dans les Himalayas. Fin juillet nous partirons pour cinq semaines autour du son du piano pour partager joie, musique et amour avec les populations indienne, népalaise et tibétaine. Un voyage du domaine du rêve et pourtant si réel qui s’annonce d’une profondeur et d’une intensité indéfinissable. Un voyage pour apprendre à donner et à recevoir, à lâcher et prise et à « marcher sur l’eau », à tolérer et à exister, à accepter l’inconnu dans toutes ses formes, à vivre en communauté et à se préserver, à créer dans la spontanéité et la pleine présence. Un voyage de sens en somme.
J’ai beaucoup hésité à participer à cette aventure, ne me sentant pas à la hauteur, légitime, prête, du fait sûrement de ma jeune naïveté, d’une certaine fébrilité et blocages dans mes convictions, de mon tempérament particulièrement solitaire, malgré toutes les connaissances et expériences que j’ai pu accumuler ces dernières années, malgré l’alignement parfait des valeurs qu’il représente avec celles que j’aspire à défendre. Par trois fois les événements m’ont poussé dans cette direction : une liste d’attente qui ne devait pas exister, une fin d’année difficile, un avion annulé. Mais je suis heureuse d’avoir hésité, d’avoir douté, et d’aujourd’hui le reconnaître. Car au final je suis plus heureuse encore d’avoir pris cette décision et d’avoir fini par laisser la vie décider d’elle-même ce qu’il en serait, finissant par sourire aux embûches rencontrées. Et chaque pas que je fais dans mon expérience en Italie me prépare peu à peu à ce périple au sommet du monde, comme un échauffement avant une course dont je ne connais ni le déroulement, ni l’issue, entre Art et Humanité…
Et je me retrouve ici, le 10 mai 2018, à Mattarello, dans le village familial, pour rencontrer et discuter réellement pour la première fois avec certains membres de ma famille. Je vis ces quelques jours d’une manière très émotionnelle. Je prends réellement conscience de l’importance de mes racines et je reçois de plein fouet cette impression d’entre deux, comme le sentiment d’appartenir à une famille soudée et unie, mais sans la connaître et avoir la possibilité d’en être intégralement actrice. J’ai toujours prôné dans mes discussions l’importance de la reconnaissance de la condition d’être humain, au-delà de son appartenance culturelle et territoriale. Cette nécessité de bannir les codes et les conditionnements qui nous envahissent. J’ai tenté d’évoluer dans ce sens, naviguant en fonction de mes envies et de mes rencontres, plutôt que de me cloisonner à un modèle préétablie. Mais j’avais oublié que je n’étais pas arrivée de nulle part, j’avais minimisé l’importance des liens entre les personnes d’une même famille, l’importance d’avoir connaissance des bases culturelles que nous avons en commun. Je sens comme un certain vide à combler dans mon développement personnel. Une pièce manquante dont trois mois de voyage ne suffiront pas pour la trouver.
Et je me retrouve ici, le 14 mai 2018, à Padoue, chez une amie que je n’avais pas vu depuis 10 ans, et que j’avais rencontré lors de ma première leçon de solfège à 6 ans. Une belle re-rencontre, délicate et inspirante, qui me re-plonge dans l’univers de la musique, du théâtre, de la simplicité et de la prise de risque dans nos choix de vie. Une découverte amicale joyeuse et complice qui finit de me convaincre que tout est possible, tout est réalisable lorsque l’on agit avec passion et conviction.
Et je me retrouve ici, le 18 mai 2018, à Naples, plus émerveillée que jamais, pour sauter dans l’inconnu, tout comme l’ont fait mes parents il y a 27 ans, de l’autre côté de la frontière. Cet article sera le dernier article contant mon évolution personnelle à travers ce voyage. Il m’appartient désormais d’utiliser tous les outils qui ont fleuris sur ma route pour agir et créer. J’ai décidé de rester en Italie à partir du mois de septembre et de poursuivre mon investigation sur ce merveilleux pays, sur les personnes qui le peuple, de me laisser la possibilité d’entrer en plus profonde connexion avec mon moi artiste, tout en restant concentrée sur cette volonté de fonder, un jour, Cosa Vostra. Ce blog prendra bientôt une autre dimension, celle de mettre en valeur les personnes qui comme moi, sont inspiratrices d’un monde nouveau, et qui, en croyant encore à leurs rêves d’enfants, le façonnent de jours en jours. Car ce sont toutes ces personnes qui à mes yeux fondent la Mafia del Sol…
Pour en savoir plus sur la Caravane Amoureuse en Himalaya, et soutenir ce projet qui est à mes yeux est le projet plus audacieux, complet, beau, et fort de sens que je n’ai jamais vu, c’est ici : https://www.helloasso.com/associations/le-petit-chemin/collectes/la-caravane-amoureuse-en-himalaya
Des ailes dans mon dos... - justeunepresence
justeunepresence.over-blog.com
Une éternité. Il me semble que ce temps fut éternel. Le temps de l'attente. D'une rencontre. D'un élan salvateur. D'un saut de puces à une marche sur l'eau... Du plus loin de mes souvenirs, mes plus grands pas sont le souffle d'un Autre, D 'une âme bienveillante...
Bonjour Très Cher Marc
Je reviens vers toi car j'ai besoin de te dire.
Ton livre ¨L éloge de la fausse note¨ que j'ai lu en 3 semaines m 'a complètement transporté.
Chaque chapitre est un régal, un bijoux une révélation et je te remercie infiniment pour cette merveille qui m'a apris a connaître un peu plus les humains.
Je suis encore sous le choc et très touché des témoignages et expériences des personnes qui t'on parlé en fin de séminaires ou en fin de concerts
En particulier cette femme qui s'est éffondrée disant qu'elle n'avais pas senti autant d'Amour depuis sa naissance, sa mère étant très rigide et froide.
MERCI pour l'Amour
Du coup J"ai recommencé La Clef d'être et je vais encore découvrir des merveilles.
Autrement, je m'exerce au piano bien accordé par Robert,
D'ailleurs si tu le vois donnes lui bien le Bonjour..
Cher Marc je te fais un gros bec doux et tendre et passe une exellente journée.
Avec tout mon Amour
Un grand merci à toutes et à tous pour ces 2 jours merveilleux.
Déjà venu en stage, il y a 2 ans, j'ai beaucoup hésité et un besoin urgent m'a pris quelques jours avant pour ne pas rater cette expérience.
D'abord Marc, fidèle à toi même , toujours prêt à donner sans compter, à nous révéler à nous-mêmes par la musique. Pour moi, tu es un docteur comme les bluesmen que l'on allait écouter pour guérir son âme.
Pour les autres, merci pour ce beau cadeau de nous révéler par la musique la beauté de vos pensées. Certaines parties de piano resteront gravées dans ma mémoire.
Un grand merci encore du fond du cœur.
Olivier.
J'espère que tu as fait bonne route pour le retour.
Juste un petit mot pour te remercier de tout cet amour que tu offres et que tu partages.
Il est des rencontres, qui parfois nous marquent au plus profond de notre être !
Celle-ci restera gravée au plus profond de mon coeur, car elle a mis en résonance cet océan d'amour qui ne demande qu'à s'expanser.
Alors MERCI d'oser être qui tu es, MERCI de témoigner du feu qui t'habites.
Tu m'as appris ce que veut dire OSER!!!
Reçois toute ma gratitude
Avec toute ma tendresse pour toi, ta compagne, et tous les tiens, qui si j'ai bien compris, "englobent toute l'humanité".
Je vous serre très fort contre mon coeur et vous dis à toujours dans l'amour.
Jean-Marie
Bonjour Marc,
Quelqu'un à qui j'avais parlé de toi, a eu envie de commander ton livre "éloge de la fausse note"... ce matin, je lui ai envoyé des photos d'hier, voici le texte d'elle reçu ce midi :
Oui j'ai reçu le livre de Marc Vella hier ; je me suis fait un chapitre hier soir avant de m'endormir et j'adore son mélange très personnel entre analyse profonde qui ratisse large dans ses références et joie naturelle ; et volonté de joie ; j'oie ! Merci de me l'avoir fait connaître ; je crois que je vais continuer à acheter ses livres !
L'expérience que vous avez vécue hier avec Vella devait être "charmante", au sens "qui met sous le charme". C'est tellement décalé avec les critères actuels de la vie sociale, suractivée et creuse... ça fait du bien au monde des gens comme ça ! Encore merci de me l'avoir fait rencontrer !
Voilà Marc! Ces derniers 15 jours, j'ai lu "le pianiste nomade", et hier soir tu en as raconté quelques passages... Maintenant, je suis dans la lecture de l'éloge de la fausse note... ainsi en douceur, je vis l'apprivoisement avec petit Marco devenu Marc. Et, un jour peut-être, une lettre manuscrite t'arrivera...
Avec gratitude et reconnaissance, je t'embrasse.
Michelle
Marie-Blanche
69006 Lyon
Bonjour
Je suis désolée, mais comme vous avez pu vous en rendre compte, je n’avais pas lu votre message avant d’assister à la conférence vendredi soir.
Je profite de ce courrier pour vous demander de figurer sur votre listing (s’il existe) pour avoir les informations sur un prochain stage de Marc Vella qui aurait lieu sur Lyon. En effet, on m’a parlé de Marc Vella, il y a une quinzaine de jours uniquement. Le “hasard” a fait que j’aille chez lui à La Touche cette année en avril pour le festival du chamanisme et que je rencontre tout récemment une personne qui va partir avec La Caravane Amoureuse.
J’ai été très intéressée par son concept de “Fausse note” ! que j’appliquerais à tellement de choses dans la vie !! J’en riais dans ma voiture en rentrant vendredi soir !! Je me sentais un peu “fausse note”, ne connaissant pas Marc dans ce parterre d’initiés en bonne symphonie... mais fausse-note discrète ! Notre ami helvète a été une vraie fausse note, étonnante, impromptue, extravagante, et pas dans la délicatesse de Marc Vella ! Quel accueil de Marc ! Bravo !
Marc a sans doute visité de nombreux pays mais à deux pas de chez nous, il y a la Suisse... tout en monde à découvrir !! On dirait !!
Je vous remercie de transmettre mes amitiés à Marc en lui souhaitant un bon séjour en Suisse et surtout une belle caravane amoureuse cette été !!
Amicalement.
Michèle
Bien cher Marc,
Je retrouve ces jours-ci un texte de Christian Bobin que j'avais relevé d'une chronique radio diffusée le dimanche matin sur RTS2 le 31.05.2015. Christian Bobin, un poète, prophète aussi, avec qui j'ai échangé au moins trois courriers. Dans ce texte, avec d'autres mots, il a le même message que toi, Marc. Sûrement que tu ne connais pas ce texte et j'ai envie de te le partager, pour une fois de plus, t'encourager à poursuivre joyeusement le message concernant "L'éloge de la fausse note". Voici les mots de Christian Bobin:
"je crois que le meilleur de la vie n'est pas dans la perfection, ce côté lisse, glacé, qui est au bout du compte très abstrait; cette perfection qu'on veut donner à nos actions, à nos œuvres, à nos gestes.
Le meilleur de la vie me semble être dans l'inachevé, dans l'imparfait. Et quand on arrivera au terme de nos jours, on arrivera avec cartable d'écoliers et à l'intérieur de ce cartable avec nos cahiers tout raturés, tout couverts de tâches d'encre.
Je crois que rien ne peut se faire sans une sorte d'allégresse à notre inévitable et inguérissable imperfection. On peut s'améliorer, je le crois vraiment, on peut donc et on le doit; mais aussi faut-il oublier toutes chimères de perfection.
Le paradis n'est pas la pièce propre, toute nettoyée. Le paradis c'est la pièce que je nettoie. Ce n'est pas demain, c'est aujourd'hui. C'est ce que j'essaie de faire au mieux, sachant que les ratages, les approximations sont inévitables. Et puis, il y a la singularité qui est le point d'ancrage de la vie, qui est le point d'ancrage de l'éternel dans cette vie".
J'ai aimé ce texte de Christian Bobin qui résume bien ton livre. Christian et toi, vous êtes à chacun à un bout de l'Histoire. L'un, reclus dans sa maison près du Creusot et l'autre, nomade sur les routes du monde. Vous êtes chacun à un "extrême" pour bien nous faire comprendre que, prenant les choses par un bout ou par l'autre, on arrive à la même conclusion.
Marc, avec toute ma reconnaissance, perpétuel mouvement de bénédiction, tellement je reçois de toi. C'est une grâce divine, un pur bonheur.
A bientôt Michel
Bien cher Marc,
Nous finissons la lecture en couple du livre La clé d'Être. Ma rencontre avec toi et ce livre me sont donnés providentiellement avec deux raisons. L'une pour confirmer un ressenti, des réflexions, des écrits et des expériences vécues qui vont toutes rejoindre ce que tu dis et écris. Et en deuxième, tu m'ouvres à l'infini des possibles quant à notre ad-venir. En ce sens-là, ton livre me fait du bien. Dans ma vie, je suis quelqu'un qui a tendance à vouloir tout maîtriser, alors obligatoirement, il y a beaucoup de limites. J'apprends avec toi à "être" dans un instant ouvert.
J'ai aimé l'histoire d'Icare. Son histoire résume bien tout ton livre et toute ton histoire. J'ai aimé Icare et je me sens pousser des ailes pour voler, juste pour être un peu au-dessus... Au-dessus de mon corps, de mon vécu, de mon histoire, de ce que vis le monde. Juste un peu au-dessus pour avoir un peu de recul et un peu d'aisance pour ne pas trop se prendre la tête et vouloir encore et encore tout maîtriser.
La raison de ce mail c'est aussi ce que j'ai vu à la télévision hier soir en replay: la prédication du pasteur lors de la cérémonie du mariage princier en Angleterre. Wouhao! Tout sur la puissance et le pouvoir de l'amour. On se serait crû dans les livres de Marc Vella et aux journées des ondes positives à Nantes avec presque encore plus de zèle et de dynamique. C'était de la dynamite.
Bonne semaine Marc. Tu es précieux pour moi, pour nous et pour ce monde et pour notre temps.
Bien cher Marc,
En couple nous lisons, dans l'émerveillement et la reconnaissance, "La clé d'Être". Nous en sommes à la page 190. C'est intense et grandiose. Nous ne pouvons pas lire beaucoup de pages à la fois. Alors, tout en douceur et délicatesse, on lit le bout qu'on peut et on laisse tout cela traverser notre être pour l'imprégner. Nous avons été à l'aise avec le grand chapitre sur le couple. Quel cadeau cette voix publique capable, dans une grande sagesse, de ne laisser personne en dehors de l'Histoire. En janvier 2018, j'écrivais à une amie: Je suis à la rechercher d'indices nous permettant de comprendre les mécanismes de nos comportements humains et donc de l'avenir de nos citées... Ton livre La clé d'Être est la réponse à ma recherche. Durant des années j'ai été très engagé dans la foi chrétienne et à un moment donné j'ai vu les impasses et surtout la question de tous ceux et celles qui ne faisaient pas partis du "groupe". (églises, peuple de Dieu etc) La réponses des chrétiens c'étaient d'aller les chercher pour les faire entrer (en dehors de l'Eglise point de salut!!) Mais c'est une impasse. Si au départ elle n'apparaissait pas ainsi, aujourd'hui on en a les preuves.
Avec toi Marc, il n'y a personne en dehors de ton livre, de ta pensée, de ton message. Ils ont tous une place et je pense que c'est en cela que tu es un "prophète", parce que notre avenir est immanquablement dans le "ensemble". Merci Marc pour cette Parole de "délivrance" que tu transmet. Je pense que ces mots que j'ai lu à la fin du séminaire à Nantes, de Maurice Bellet: "Pur commencement: la genèse délivrée", résume bien ton message. Quand je suis rentré de Nantes, Michelle me dit: on a reçu un mail qui nous annonçait le décès de Maurice Bellet pendant les journées des ondes positives. Et le mail disait: "Soyons nombreux, nombreuses, celles et ceux à qui il a ouvert la Voie, à nous faire proches de celles et ceux qui attendent une parole qui justifie". Tu es vraiment cette Parole qui justifie pour ceux et celles qui attendent. Merci Marc.
J'ai écouté ce matin la prédication du culte à la radio. Ils étaient à Genève. La prédication était assurée par la pasteur Marie Cénec. Le thème de la prédication était: le mensonge. Très belle prédication! Il y avait des mots pour toi. Je les relève depuis internet: "... Comme si notre société ne pouvait pas supporter la limite humaine, l'erreur humaine, l'imperfection humaine. Oui, combien il est difficile pour les êtres humains d'accepter leurs limites, leurs fragilités.
Alors: HEUREUX, heureux ceux qui sont capables d'assumer leur personnalité, ceux qui ont réussi à se libérer du regard de l'autre, de son jugement, ceux qui sont libres d'être qui ils sont. Oui, heureuses les personnes vraies parce qu'elles nous aident à être nous-même, à ne plus avoir besoin de nous maquiller sans cesse le coeur et l'âme..."
Merci Marc, par ce que tu es et dis, tu nous aident à être nous-mêmes et à ne plus avoir besoin de nous maquiller sans cesse le coeur et l'âme. La force de ton message est dans ce "libre d'être qui tu es".
Un bonjour tendre et affectueux pour ta chère épouse.
Je t'embrasse. Michel
J'avais écouté silencieusement l'émission de ton interview avec Lydia Gabor. Mon ressenti avait été très fort sur un point. Et alors que j'ai été certaine de venir à Romont, en une fin de nuit, j'ai compris ma mission vers toi... que j'exprime dans la petite pièce jointe.
Bonjour Marc!
"Marc est parvenu à établir un très bon relationnel avec les personnes détenues participantes et un lien de confiance très rapidement à travers le partage de son vécu douloureux, de sa vision de la vie et en racontant ses voyages autour du monde. Les échanges furent de qualité et riches en émotions sur les parcours de vie ponctués de « fausses notes », la manière de les accepter, de ne pas rester dans une posture de victime ou en colère, de les embellir et de continuer sa vie.
En faisant des 4 mains avec des personnes détenues volontaires, n’ayant pas de connaissance préalable du piano, Marc parvient à leur démontrer que chacun peut faire œuvre de création et de beauté."
Bonne journée et à une prochaine,
Estelle CARRAUD
Conseillère Pénitentiaire d'Insertion et de Probation
SPIP
Maison d'arrêt
Tél. : 03.89.36.34.35
Secrétariat : 03.89.36.34.02
Fax : 03.89.36.34.12
Olá à tous.
Me revoilà en terres lusitaines et le feu de ce que j'ai vécu est fulgurant.
Je partage avec vous cet extrait de Christiane Singer qui a été entre autre une grande impulsion pour vous rejoindre ce weekend.
Ma voix profonde est celle de distinguer ce qui est beau de ce qui fait la beauté des choses et nous l'avons savourer ces deux jours.
Les fausses notes nous font jouir si nous les rendons belles. Si nous les servons, alors c'est le chemin pour ne laisser aucune trace de notre souffrance sur cette terre.
Grâce à nous tous, nous savons qu'il faut aller chercher l'enfant blessé que nous sommes, le prendre par la main, le chérir et le propulser dans la joie.
Quel est le grand accomplissement de la vie? je crois comme l'a dit ce rabin et comme Marc le fait si bien : ne laisser aucune trace de ta souffrance sur cette terre!
Je vous dis Arigatou et contrairement à ce qui se dit ne provient pas du portugais Obrigado ( malgré la ressemblance). Le premier caractère renvoie à la notion de présence et d'existence et le second signifie difficile, rare, précieux..
Ma Gratitude Infinie pour ces moments précieux de valeur humaine.
Fernanda
Marc
Je viens juste de faire ta connaissance par internet.
En fait une amie m'a donné le lien pour accéder aux vidéos du sommet de la conscience.
Et là qu'elle surprise quand j'ai découvert tes vidéos
J'ai été profondément touché, immensément bouleversé par ce témoignage d’amour que tu incarnes et que tu offres au monde !!!
Et cet Amour, je l'ai reçu en plein coeur.
Aucun mot ne pourra jamais exprimer ce que j'ai ressenti.
Quand j’écoute ta musique, c'est la musique de ton âme que je perçois, c'est la musique au-delà de la musique, celle qui fait vibrer les coeurs, et cette musique tu sais si bien la faire chanter elle transpire de tout ton être, elle est un baume qui caresse les âmes.
Ta vibration raisonne au plus profond de mon être.
Elle fait chanter la joie, l’amour, la vie au plus profond de mon coeur.
Tu m’apprends à poser un regard d’amour et de tendresse illimité sur tout ce que j'ai cru être mes fausses notes ( je pleure en écrivant ces mots ! oui je pleure de joie et de gratitude).
Tu me fais comprendre que la vie accueille tout sans exception, rien n’est à rejeter, tout est à aimer !!!
Alors c'est un immense et humble merci que mon coeur t'adresse,
Merci d'être ce que tu es, merci pour tout ce que tu donnes, pour tout ce que tu offres sur ton passage.
Cette immense gratitude que je ressens à ton encontre, je voulais juste te la témoigner.
Un grand Merci, un trés grand Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii,
A toi et à ta compagne pour cet amour si pur que vous offrez au monde.
Je vous serre contre mon coeur
Avec toute ma tendresse
Je remercie la vie de m'avoir fait connaitre que vous existez.
Vous êtes une bénédiction pour ce monde.
Bonjour Marc..il y a qqes années déjà, nous nous sommes tous réunis avec les amis a tavira au portugal...je me souvient de ton rayonnement..es tu toujours installé avec ta famille vers la Vendée? Je t embrasse armelle
BONSOIR MARC,
J'ai écouté ta conférence, j'en suis à peine remise tellement que tu me transportes au pays de l'humanité et de l'AMOUR, je t'ai laissé un commentaire car vraiment tu es une belle âme soeur et je n'ai pas peur de te dire JE T AIME ! comme je voudrais le dire à toutes celles et ceux que je rencontre sans que l'on me prenne pour une illuminée et c'est pourtant ce que je souhaite devenir le plus. Car pour moi c'est ma vraie nature d'aimer, et c'est pas réserver à quelque s un, mais à chacun d'etre nous, et je souhaite déployer cette nature de plus en plus, peut être est-ce pour cela que je suis tellement émue de te voir et de t'entendre. Merci et gratitude à la vie pour cette belle rencontre. Claudette
Merci pour ta belle contribution au Sommet de la Conscience !!
Grâce à toi, Etienne, bientôt 10 ans, vient de trouver sa quinte intérieure, en Ré-La.
D'ailleurs, as-tu enregistré des morceaux en Ré sur tes CD ?... et si oui, lesquels ?
Je guette ton passage par la Forêt des Cèdres autour du 17 juin prochain.
Merci d'avance pour ta réponse,
Bon voyage dans la poésie de la Vie !
Bonjour Marc,
Quel bonheur que cette conférence qui tombe à point nommé pour me "remettre une couche" de ton message.
Une chose qui résonne particulièrement en moi, c'est ce côté universel que tu portes. Tu ne t'adresses pas seulement aux personnes ayant déjà un parcours de développement personnel, mais aussi à tout le monde, dans la rue. J'ai la conviction profonde, une sorte d'intuition que nous sommes tous dans le même bateau et qu'il est illusoire d'espérer se sauver tout seul, ou entre gens "évolués".
J'ai profité de la possibilité de laisser un commentaire pour le faire en partageant l'autolouange écrite après le stage d'octobre.
Je t'embrasse,
L'insignifiance et la futilité qui règnent en maîtres barrent l'accès au réel et à la profondeur. Aussi ai-je gagné la certitude que les catastrophes se sont là que pour nous éviter le pire.
Et y-a-t-il pire que d'avoir traversé la vie sans houle et sans naufrage, d'être resté à la surface des choses, d'avoir dansé toute une vie au bal des ombres ?
Cher Marc,
merci pour ton stage et le livre "la clé d'être", que je dévore et qui me donne des ailes !
Ce matin, à la messe, le prêtre m'a donné deux osties sans même s'en rendre compte. C'est bien la première fois que ça m'arrive. J'ai partagé le fait avec mon mari qui m'a dit : "sans doute que tu en as besoin !", sous entendu, "tu as peut-être quelque chose à te reprocher". il faut dire que sur le chemin nous avons eu une discussion un peu tendue...
Moi j'ai rétorqué : "quand on est dans l'abandon (et j'étais dans cette joie de l'abandon), on reçoit l'abondance !". Ca l'a décontenancé mais il n'a rien trouvé à redire !
En tout cas, ce fut un très beau signe du Ciel pour moi.
Bien à toi et à Cathy
Nadège (stage St Orens chez Françoise)Témoignage après un week-end de stage : "Vivre en joie la musique de la vie"
Être pleine d'Amour. Un jour j’en ai perdu le sens. En voulant être avec les autres, j’ai souvent contracté mon cœur, pour ne pas déranger. Rester monotone, jouer ce qui ne dérange pas, ce qui existe déjà : Une croyance pour être avec vous. J’aime tant partager, voir sourire et danser le monde. Jouer quelques notes pour voir votre regard nostalgique, dès les premières secondes, à quoi bon ? Je ne souhaite pas plomber l’ambiance. Et pourtant! Durant ce stage j’ai beaucoup pleuré quand j’ai re-goûté à la musique de la vie. Des larmes qui me disaient : « Pourquoi ne pas ouvrir la porte de ton cœur ? » C’est tellement essentiel à ma respiration, à mon inspiration… Pleurs de joie de te retrouver et de t’accepter. J’avais tellement soif de toi... D'accord en accord, je choisis de vivre malgré toutes ces souffrances. Merci Marc et Cathy de m’avoir remis sur le chemin,
Par ma musique, je vis.
Elise
Par la musique j’ai aimé j’aime et j’aimerai
Pourquoi se priver de la boisson ?
Celle du Ciel celle des hommes
Viens nous boire nous te boirons dit la vie
Merci tellement
Fatigué de l’étroitesse
Des tièdes des endormis
Mais une vie sans vagues, j’en conviens...
Quelle tristesse !
Étant du bord de mer
C’est ce que j’y aime
Son caractère changeant
Les surprises de chaque instant
Le courant tombe ? Tant mieux
Le courant remonte ? Tant mieux
La mer est d’huile ? c’est super, je nage !
La houle ? les rouleaux reviennent ? C’est super, je plonge !
Dans la baie du mont saint Michel
La mer y remonte parfois
A la vitesse d’un cheval au galop
Nous rappelant qu’il faut devant les éléments
Rester humble, prudent,
C’est ainsi, la Méditerranée
N’est pas ma tasse de thé
Vive l’océan !
L'insignifiance et la futilité qui règnent en maîtres barrent l'accès au réel et à la profondeur. Aussi ai-je gagné la certitude que les catastrophes se sont là que pour nous éviter le pire.
Et y-a-t-il pire que d'avoir traversé la vie sans houle et sans naufrage, d'être resté à la surface des choses, d'avoir dansé toute une vie au bal des ombres ?
Je voulais te souhaiter ainsi qu'à Katy une année 2018 riche en rencontres profondes...
La lecture de ton livre "le Pianiste Nomade" m'a donné envie de relire "Dialogue avec l'Ange" que j'avais survolé trente ans plus tôt chez ma grand mère. La lecture de ce livre m'a interpellé, parfois réconforté, parfois surpris même assez vivement (notamment sur la souffrance). A la suite j'ai lu le journal intime d'Etty Hillesum "une vie bouleversée", je me permets de t'en parler car ce que partage en profondeur cette jeune juive décédée en 1943 a une profondeur d'humanité qui ne laisse pas indemne...
Comme j'ai cru comprendre que tu recevais deux cents courriels par jour, je vais m'arrêter là pour ne pas encombrer trop ton esprit ! Mais il y aurait matière à partager...
Fraternellement.
François
Si ce stage avai ete plus pres j y aurais bien participe pour la Troisieme Fois. Une experience magique. Marc Vella est une personne a connaitre si votre chemin de vie le croise. ami(e) inconnus profitez de ce privilege. Il a su transformer mon analyse de ma vie : Dans la vie il n y a pas de fausses notes. ,Tout comme en musique il suffit de l accueillir avec DELICATESSE